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Epigraphe d'une oeuvre condamnée

15 avril 2009

Another day where I'm not on Deezer.

Nous sommes le mercredi 15 avril. Et une fois de plus, je ne suis pas sur la page d'accueil de Deezer. Et je n'arrive pas à baisser les bras. Et je ne sais pas expliquer pourquoi. Et ça me fatigue d'être inépuisable à ce point.

Le 11 novembre 2006, j'ai fait mon premier concert. Cela faisait déjà plus d'un an que je jouais avec le groupe.

Nous sommes en avril 2009, soit 2 ans et 5 mois après ce premier concert. Notre première chanteuse est partie au bout de 6 concerts (en 8 mois). notre nouvelle chanteuse est arrivée 4 mois plus tard. Notre batteuse est partie 8 mois après l'arrivée de notre chanteuse. Et ça va faire bientot un an que nous cherchons une nouvelle batteuse.

Notre histoire est longue et douloureuse. Je vous réfère à un précédent article sur ce blog, qui apparement,est encore d'actualité aujourd'hui.

Et en allumant mon ordinateur aujourd'hui, j'ai eu envie de faire un groupe "facebook" pour nous faire connaître.

Je me suis rétractée au dernier moment, car finalement, gagne-t-on à être connues ? Est ce possible que mes rêves de support sur disque, de belles photos, de lives, de chroniques, de critiques, de rencontres avec le public, puissent voir le jour ? L'herbe m'est coupée sous le pied. Il faut que j'avance à reculons pour pouvoir faire quoi que ce soit. J'ai l'impression qu'on veut me confisquer mon jouet dès que je m'amuse un peu trop.

Je suis exigeante, non, je ne pense pas, j'ai toujours ce fort désir de monter un groupe de rock, et de m'amuser avec. Comme certains font du tunning, du poney ou du turling baton. Moi, je veux faire partie d'un groupe de rock.   

http://www.brainwashed.new.fr/

www.myspace.com/brainwashedgirls

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28 janvier 2009

fast blogging

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29 décembre 2008

Article sous insomnie.

Il est 9h41. Le temps semble s'être figé depuis 22h45. Comme à mon habitude, je mange devant la télévision, me recroqueville dans le canapé, et commence à somnoler durant les 15 premières minutes du film que je suis décidée à voir jusqu'au bout. Je me réveille à diverses reprises, luttant avec acharnement pour laisser mes yeux ouverts. Mais le murmure monotone de la télévision, la chaleur et la fatigue de mon corps et de mon esprit sont toujours plus forts que ma volonté et je sombre avec délectation dans un sommeil paisible et où je me sens protégée. Car des gens veillent sur moi en veillant tout court. Et puis le générique de fin s'achève, et on s'agite à mes côtés. Le réveil est difficile mais indispensable. Ma prochaine escale est le lit.

Il est 22h45. Et je suis parfaitement éveillée. Je bouquine un peu, essaie d'éteindre ma lampe de chevet. Mais dès que le noir s'installe, se logent dans mon esprits, tous mes soucis, tous mes doutes, toutes mes peurs et j'ai vite le tournis. J'allume, j'éteins. Mes draps ne sont plus frais, ils sont aussi nerveux que moi. J'ai sommeil, mais impossible de m'endormir...

2h du matin. Il ne s'est toujours rien passé qui me fasse plonger dans les bras de Morphée. Résolue, je décide de migrer une fois encore devant la télévision, oreiller et couveture sous le bras prêts à provoquer mon sommeil. Tout le monde compte sur mon cerveau. Sur la chaîne Comédie : je tombe sur des épisodes de Friends. J'ai froid, le cuir dans mon dos est désagréable, le canapé trop petit pour étendre mes jambes endolories par les mouvements perpétuels que je leur inflige dans l'espoir de trouver une position confortable pour dormir. L'attente est insupportable. Je suis épuisée.

4h. Les épisodes de Friends sont terminés. Je zappe et tombe sur Hélène et les Garçons sur NRJ12. J'enchaîne, 6,7 épisodes. Rien à faire. La série a beau être la plus soporifique du monde, elle me garde en haleine. (pas fait exprès ce mauvais jeu de mots...)

Il est bientôt 6h du matin & les épisodes d'Hélène & les Garçons s'achèvent. Je refuse de suivre les programmes du tout début de matinée et retourne dans mon lit. Je sens mon corps qui commence à lâcher prise et mon esprit qui décide de lui emboîter le pas. Mais en voyant l'heure : 6h15 en grosses lettres rouges sur mon réveil, je ne peux pas me résoudre à fermer les yeux. Je me lève dans une heure. Une heure. Impossible de ne dormir qu'une heure.

Je guette d'un oeil les chiffres des minutes bouger sur le réveil. A 6h40 je ne tiens plus, me lève et vais prendre ma douche. Ma journée commence, sans s'être arrêtée. Je suis nauséeuse sous la douche.

Je suis encore un peu nauséeuse et puis maintenant, je suis surtout morte de fatigue. Il est 10h02 et le temps semble s'être figé.

23 décembre 2008

J'ai la frite.

Godamn.

Je sais bien que tous ses derniers posts sont effroyablement pessimistes.

Je profite d'un moment d'acalmie dans mon être tourmenté pour venir poster le message de la joie, de la réconciliation, du partage, du bonheur retrouvé.

Anecdote d'il y a un instant :

"- Bonjour Madame, oui je vous ai sonné ce matin à propos de places pour Gérard Darmon, et on m'a dit qu'on me resonnerait pour me dire le paiement."

C'est censé être drôle. Dude, c'était drôle, je te jure, le mec avait un accent belche à couper au couteau. A un moment donné j'ai même cru que c'était François Lembrouille qui appelait, tellement j'avais envie de rigoler.

Je ne peux malheureusement rien faire de plus pour fin 2008. Mais le microkiné me remet sur les rails de la joie, de la réconciliation, du partage, du bonheur retrouvé.

Hm.

15 décembre 2008

post inutile.

J'ai mal à la gorge.

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11 décembre 2008

11 décembre

Il fallait aussi que je poste cette chanson aujourd'hui.

11 décembre 2008

dépressive

Pourrait-il s’agir d’une dépression ?


Depuis au moins 15 jours, presque chaque jour, presque toute la journée,

- éprouvez-vous une tristesse inhabituelle, très douloureuse, qui perturbe votre vie quotidienne ?

- avez-vous perdu votre intérêt pour la plupart des choses, comme les loisirs, le travail ou les activités qui vous plaisent habituellement ?

Si vous vivez depuis au moins 15 jours l’un de ces états ou les deux, poursuivez votre questionnement :

- vous êtes-vous senti(e) épuisée(e) ou sans énergie ?

- avez-vous pris ou perdu du poids – de façon inhabituelle et importante – sans le vouloir ?

- avez-vous eu des problèmes de sommeil (difficultés à rester endormi(e), réveils très tôt le matin ou, au contraire, excès de sommeil, envie permanente de dormir) ?

- vous êtes-vous senti(e) plus lent(e) que d’habitude (par exemple pour parler ou pour vous déplacer) ou, au contraire, avez-vous été beaucoup plus agité(e) ou nerveux(se) que d’habitude ?

- avez-vous eu beaucoup plus de mal à vous concentrer ?

- vous êtes-vous senti(e) sans valeur ou bon(ne) à rien ?

- avez-vous beaucoup pensé à la mort, que ce soit la vôtre, celle de quelqu’un d’autre ou la mort en général ?

Si vous avez observé chez vous plusieurs de ces symptômes, depuis au moins 15 jours, presque chaque jour, presque toute la journée, ceci constitue un signal d’alerte qui doit vous encourager à en parler avec un médecin.

1 décembre 2008

paranoïaque

Le DSM-IV définit ainsi le trouble de la personnalité paranoïaque[3] :

État de méfiance soupçonneuse envahissante envers les autres dont les intentions sont interprétées de manière malveillante. La personnalité paranoïaque implique la présence d'au moins quatre des sept symptômes suivant :

  • le sujet s'attend, sans raisons suffisantes, à ce que les autres l'exploitent, lui nuisent ou le trompent.
  • Il est préoccupé par des doutes injustifiés concernant la loyauté ou la fidélité de ses amis/associés.
  • Il est réticent à se confier à autrui car il craint que l'information ne soit utilisée contre lui.
  • Il discerne des significations cachées, humiliantes ou menaçantes dans les événements anodins.
  • Il ne pardonne pas d'être blessé, insulté ou dédaigné.
  • Il perçoit des attaques contre sa personne ou sa réputation, auxquelles il va réagir par la colère ou la contre-attaque.
  • Il met en doute de manière répétée et sans justification la fidélité de son conjoint.
14 novembre 2008

BABY

..ah. Les bébés. Petites choses toutes roses et dégoulinantes. Ils envahissent ma vie depuis quelques mois. Tout le monde fait son petit bébé et me le fous sous le nez. Il y a une certaine obsession en ce moment, à vouloir des enfants. Je ne sais pas pourquoi.

Mardi dernier, on a encore essayé de m'amadouer. J'avoue que je supporte assez mal d'être avec un nourrisson. Immédiatement des réflexes idiots surgissent en moi. Bétifier, avoir envie de faire des calinous et des gratouillis à chacun de ses petits membres potelés. Je deviens vite gaga.

Et pourtant, mon avis reste encore une fois assez radical sur les enfants. Car irrémédiablement, on se pose la question de : "et si moi, j'en avais un ?". Outre le fait que je sois beaucoup trop jeune pour en avoir (la moyenne étant 29/30 ans, mon cher et tendre vous expliquerait par A+B le pourquoi du comment), je n'arrive pas à me projeter avec une petite chose douce et potelée à mes côtés.

D'une part, parce qu'il faut bien se rendre à l'évidence, avoir un enfant avec la conjoncture actuelle P4020018est assez risqué Tu forces quand même un nouvel être humain à  vivre aujourd'hui au 21ème siècle, avec la vache folle, la fonte des glaces, le terrorisme international, la crise financière, et les artistes rock français. Mais si, dans une totale abstraction de tes propres conditions de vie, tu décides, très égoïstement de faire un enfant, le risque (tout aussi mathématique que la moyenne d'âge de procréation) de voir ton couple se séparer, dans une lutte féroce avec tribunaux, droits de garde partagés, pension alimentaire, et rendez-vous dans diverses structures sociales, devrait t'empêcher d'imaginer un avenir radieux pour ta progéniture.

Faire un enfant, c'est pas comme acheter un canapé. Ce n'est pas du long terme, c'est ta vie entière qui en prend un coup. Pourquoi l'être humain se sent-il obligé de se multiplier ? Un instinct de survie probablement. Mais cet instinct va te prendre la tête à 14 ans pour avoir un scooter et la dernière XBox, va sortir en boîte, se mettre à fumer, à te mentir, à se foutre de ta gueule. Ce petit truc tout doux qui te fait de grands sourires, va te faire vieillir.

Mais évidemment, toutes ses raisons, aussi censées soient elles, trouvent quelque part une répartie.

Et la raison, la plus sincère en ce qui me concerne, du fait que je ne veuille pas (encore) d'enfants, c'est simplement que je ne peux pas encore supporter l'idée d'être aussi importante pour quelqu'un que ma maman l'est pour moi...

5 novembre 2008

WORK DIARY Day 5

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